Un Irrépressible Besoin De Sexe (Histoire Écrite En 08/2011 Avec Les Confidences DUne Amie).
Je me prénomme Vanessa. A bientôt 40 ans, jai un irrépressible besoin de sexe. Cest pour moi comme une sorte de drogue, jai besoin de ma dose tous les jours (du moins le soir) pour être en forme au boulot le lendemain.
Déjà dès mon adolescence, jai découvert mon corps et les caresses qui pouvaient me donner du plaisir. Sous la douche quotidienne, je laissais leau ruisseler sur les seins dont les jeunes bourgeons sérigeaient et mes mains descendaient sur mes hanches de jeune fille à peine pubère pour venir caresser mon bouton damour et ma chatte. Chaque fois cétait de plus en plus fort.
A cette époque, je ne me trouvais pas belle ! Grande fille longiligne, javais le visage allongé et le menton pointu, la bouche mince et de longs cheveux blonds et lisses. Mes seins et mes hanches étaient à peine marqués.
Bref, vis-à-vis des garçons, je passais inaperçue et je navais pas de flirt alors que dans les années 2000, les copines changeaient presque de petit ami tous les mois, passant de lun à lautre, les échangeant même parfois pour comparer leurs performances amoureuses. Chaque fois que ma meilleure amie me parlait de ses copains du moment et de ce quils faisaient ensemble, jétais excitée et je mouillais comme une fontaine, me demandant quand je connaitrais enfin ce que toutes les filles de mon entourage avaient expérimenté.
Il a fallu que jattende lété de mes 18 ans pour quun garçon sintéresse enfin à moi. Avec mes parents et mon frère cadet, nous étions en camping au bord dun lac de barrage dans les Alpes de Haute Provence. A côté de notre caravane, il y avait celle de parents de Ludovic. Comme cela arrive souvent au cours des vacances, les deux familles avaient sympathisé et le soir nous prenions souvent lapéritif tous ensemble, voire même nous partagions un bon barbecue.
Après le repas, pendant que les parents refaisaient le monde, je partais avec Ludovic pour de longues promenades sur la rive du lac.
En marchant nos mains se touchaient parfois
jusquau moment où nous avons du franchir un ruisseau qui rejoignait le lac. Pour me faciliter le passage à gué sur des pierres prévues à cet effet, Ludovic a pris fermement ma main et ne la plus lâchée après. Je me sentais bien et (sans être naïve), je me demandais comment cette promenade allait se terminer. Cest ce soir-là que jai perdu ma virginité. Ludovic a été très doux et nous avons recommencé chaque soir au bord de la rive, loin des regards indiscrets.
Avec 1.78m, javais pris quelques formes, mes seins et mes hanches étaient plus marqués mais cest ensuite que mon corps a changé. Est-ce le fait davoir fait lamour que quelque chose sétait débloqué, je nen sais rien, mais à partir de cet été, jai véritablement changé pour devenir une belle grande jeune femme aux formes harmonieuses qui attirent les regards des hommes.
Mes hanches se sont élargies, la taille sest marquée et mes seins se sont développés pour atteindre un bon 90.B et une jolie forme en pomme. Mes cheveux blonds ont aussi changé de teinte pour devenir châtain foncé avec des reflets dorés, coupés en carré aux épaules avec une frange courte sur le front. Jai commencé à me trouver sexy et jai répondu aux avances des garçons
au point que désormais, je baisais régulièrement deux à trois fois dans la semaine avec lun ou lautre de mes camarades détudes.
Comme je navais pas dexclusive, javais acquis une réputation de salope que jassumais pleinement. Ensuite, lors de mon stage en hôpital en fin de cursus, je me suis éclatée lors des gardes de nuit calmes en baisant avec les médecins de garde ou dautres hommes qui passaient à ma portée.
Cest ainsi que durant cette période jai connu ma première expérience homosexuelle avec une infirmière diplômée qui, depuis quelques temps me faisait des avances très appuyées. Un jour, elle ma convaincu lors dun diner en tête-à-tête chez elle de faire lamour ensemble. Elle ma bien fait jouir mais ne ma pas convertie au point de devenir bisexuelle.
Pour me satisfaire en dehors de mes parties de galipettes, javais à ma disposition une série de jouets érotiques ce qui fait que même lorsque je nétais pas de garde de nuit, je me caressais et pénétrais ma chatte à plusieurs reprises au moment de me coucher et le matin au réveil. A chaque fois, jatteignais des orgasmes fabuleux, presque aussi bons que lorsquun homme me sautait
là où lenvie de baiser nous prenait. Dailleurs à lhôpital, jai été surprise plusieurs fois dans des chambre inoccupées ou dans la lingerie, mais à chaque fois, jen sortais fière de moi et de mes prouesses.
Lorsque jai eu mon diplôme, jai été embauchée quelques années dans lhôpital où javais fait mon stage et je me suis mise en ménage avec Bruno, un infirmier de 5 ans mon ainé. Il me connaissait bien et nous avions convenu dès le départ que, sil nous arrivait de vivre une aventure sexuelle, nous devions nous la raconter par le détail mais aussi, ne pas nous attacher sentimentalement.
Cest avec lui que jai découvert diverses pratiques comme la soumission douce, la sodomie (que je navais jamais acceptée avant), le libertinage où pour la première fois, jai commencé à fréquenter les clubs de la région. Malgré mes envies de sexe débridées, je me contentais de mélangisme et dexhibition en dansant à la barre. Là encore jétais fière de moi et davoir excité hommes et femmes mais cest Bruno qui me baisait au final.
Puis un soir où nous étions en club, Bruno me faisait un cunnilingus pour achever de me mettre en condition lorsquun mec beau comme un dieu est arrivé près de nous.
Jai envie de te baiser ! Je tai déjà vue plus dune fois, tu me sembles un bon coup !
OK ! mais demande à Bruno ! Je ne pense pas quil soit contre mais ce sera une première !
Pour la première fois, jallais avoir deux hommes en même temps. Lun et lautre bandaient comme des taureaux en rut : deux belles bites pour moi, pas gigantesques mais de bonne taille. Lhomme ma fait mettre en levrette sur le pouf de lalcôve avant de se glisser derrière moi. Bruno est venu en face et il ma fait comprendre quil voulait que je le suce à fond. Çà y était, jétais embrochée ! Une bite dans la chatte, une autre dans ma bouche.
Ces deux coquins mont si bien baisée que jai pris mon pied à deux reprises avant quils ne se libèrent : une giclée mémorable dans ma bouche au point que je nai pas pu tout avaler et des jets à répétition au fond du préservatif. Que cétait bon et jamais je ne métais sentie aussi salope
Lorsque mon baiseur est sorti de ma chatte, une jeune beurette (pas plus de 20 ans) qui nous avait matés discrètement sest approchée, a retiré la capote et a nettoyé la bite qui soffrait à elle en disant clairement :
Cest mon mec
son sperme mappartient.
Elle sest intéressée ensuite à celle de Bruno pour la toilette buccale. Le mec qui mavait sauté dit alors :
Cest ma copine Fatima ! Elle a envie dune double pénétration ! Si Bruno est partant, elle va nous remettre en forme et nous lui donnerons ce quelle veut.
Lorsque les deux bites ont été bien bandées, Bruno la prise par la chatte et son copain la sodomisée. Quand ils ont été bien en place, Fatima ma dit :
Viens au dessus de moi, je vais te manger ta chatte !
Je ne vous décris pas le pied que tous les quatre nous avons pris.
Quelques temps plus tard, nous avons croisés Fatima et Gilles, son copain, dans un autre club et là, cest moi qui ai eu droit au même traitement. Depuis lors, quand nous sortons en club en moyenne une fois par mois, je me fais sauter de différentes manières par au moins trois hommes qui honorent chacun un de mes orifices pendant que Bruno papillonne et butine les jolies fleurs qui veulent bien se laisser prendre. De retour dans notre studio au petit matin, nous nous racontons nos frasques de la nuit et nous nous endormons tendrement enlacés. Au réveil, nous baisons une fois avant de nous lever.
Le temps a passé et alors que javais 32 ans, Bruno ma proposé de nous installer en exercice libéral dans une petite ville où un cabinet était à reprendre. Je ne lai pas suivi, préférant rester sur Paris et nous nous sommes quittés bons amis. Nous nous revoyons de temps à autre mais ce nest plus pareil.
A lhôpital, il ne se passait pas une nuit de garde sans que je baise au moins une fois ! Cela se passait généralement entre 2 et 3 heures pendant la période la plus calme. Il suffisait que lun des hommes présent dans lhôpital me demande de le suivre dans un endroit propice pour quaussitôt, ma chatte shumidifie et que dès que nous étions seuls, jécarte mes cuisses, avide dêtre baisée.
Les weekends lorsque je nétais pas au boulot, je sortais en boite pour danser ou en club. Bien évidemment, en dansant, je levais vite fait un mec : ce nétait pas difficile, je portais généralement une jupe sarrêtant à mi-cuisses, un sweatshirt très serré au travers duquel on distinguait les tétons de mes seins et un string des plus réduit. La série des slows se terminait par une bonne partie de jambes en lair dans une voiture ou dans un endroit isolé et je revenais dans le dancing heureuse et comblée, prête à recommencer avec un autre.
En club, jétais de plus en plus exhibitionniste, me livrant avec le temps à des danses de plus en plus lascives, en venant même à partager la perche avec dautres filles. Cétait alors loccasion déchanger entre nanas des caresses de plus en plus chaudes mais ça nallait jamais plus loin. Nos shows lubriques étaient alors acclamés par une salve dapplaudissements des coquins des deux sexes qui nous avaient matés. Lorsque je rentrais chez moi, javais besoin dune bonne douche chaude pour me délasser et me débarrasser des restes de la nuit : jets de foutre et de cyprine mélangés car désormais, à force de faire des trios jétais devenue bisexuelle.
A fréquenter les trois mêmes clubs du centre de Paris, javais acquis et confirmé mes qualités de bonne baiseuse, toujours prête à me faire sauter ou à participer à un groupe à géométrie variable si bien quune nuit, je me suis retrouvée embarquée dans une séance dont je me souviendrai longtemps.
Ce soir-là, cest le gérant lui-même qui ma reçue au bar et ma offert une coupe de champagne. Nous avons bavardé quelques minutes et il s étonnait de me voir arriver seule :
Alors Vanessa, seule ce soir ?
Oui mais je suis sure que je vais trouver quelquun pour me baiser. Dailleurs tu le sais !
Oh çà ce nest un secret pour personne : Tu aimes baiser. Jai une proposition à te faire. Si tu es OK, tu pourras entrer gratos chaque fois que tu voudras pendant un an. Vas faire un tour à la perche et revient me voir.
Daccord, çà marche pour moi !
Je suis passée par le vestiaire où je me suis débarrassée des vêtements superflus et en simples soutien gorge et string je suis allée, non pas à la barre, mais dans une des cages pour mexhiber et exciter les mecs et les filles présents. Au bout de quelques temps je suis revenue au bar où le gérant ma présenté trois jeunes hommes dans la trentaine :
Voila Vanessa, si tu es toujours partante, ces trois lascars veulent te baiser les uns à la suite des autres sans te laisser de répit, en fait un gang bang qui commencera avec eux.
OK, venez, nous allons passer aux choses sérieuses.
Tous les quatre, nous nous sommes dirigés vers la salle principale située à létage où se trouve un grand lit rond au centre. Rien quà les voir marcher à côté de moi et de voir leur bite à moitié bandée entre leurs jambes, me frôlant de leurs mains, je commençai à mouiller, imaginant ce que nous allions faire. Mais je nétais pas au bout de mes surprises
En plus le gérant les avait bien choisis : des beaux mecs, pas trop musclés avec une bite de taille respectable
Ils se sont assis côte à côte sur le lit et je me suis agenouillée devant eux pour sucer leur bite, chacun à leur tour ou à deux dans ma bouche. Bientôt, le premier que je sentais très excité, ma fait monter sur le lit, ma couché sur le dos et dans la position du missionnaire, il a commencé en me baiser à longs traits. Presque à chaque fois il sortait de ma chatte et y entrait à nouveau en méperonnant de plus en plus vite et fort. Ses deux complices étaient venus à côté de moi et je les suçais alternativement, mais seulement pour entretenir leur bandaison... Jai joui une première fois au moment où celui qui me baisait à éjaculé dans la capote. Il a été remplacé aussitôt par un de ceux que je venais de sucer.
Il ma fait mettre en levrette et son complice sest glissé sous moi pour que je continue ma fellation pendant quil jouait avec mes seins. Jétais tellement mouillée que jai à peine senti la pénétration de lautre. Je me suis rendue compte que jétais embrochée quand jai senti ses couilles venir battre entre mes lèvres intimes et frapper mon clitoris à chaque fois quil collait son ventre contre mes fesses.
Je sentais mon plaisir monter dans mon ventre, je ruisselais de plus en plus au point de sentir ma cyprine sécouler entre mes cuisses. Soudain, en pensant aux doubles pénétrations que javais connues, je suis partie brusquement, rejetant la bite qui envahissait ma bouche pour crier ma jouissance à haute voix. Le gars qui me baisait sest retiré et sest masturbé vivement pour cracher son sperme sur le bas de mon dos.
Une des filles du cercle des voyeurs est venue nous rejoindre sur le lit et elle a lapé le sperme qui maculait mon dos :
Je récupère ce qui est à moi ! Cest mon mec qui ta baisée et je veux son sperme !
En disant cela, elle malaxait mes seins dune main pendant que lautre était plongée dans sa fourche, fourrageant dans sa chatte comme une malade jusquà jouir toute seule.
Le troisième sest allongé sur le dos, la bite dressée comme un I vers le plafond et ma fait asseoir dessus. A un moment, jai cru quil voulait me sodomiser dans cette position mais finalement sa bite est entrée dans ma chatte. Jétais empalée jusquà la garde et cétait à moi de faire lessentiel du travail : monter et descendre sur ce pieu de chair fiché au plus profond de moi. Par ailleurs, jétais occupée avec deux autres hommes : jen suçais un (pas très facile) et je masturbais lautre. Je naurais pas pu le prendre en bouche tant son sexe était généreux, long, gros et noueux.
Jétais de plus en plus chaude et excitée ! De nombreux voyeurs des deux sexes sétaient rassemblés à proximité du lit. Je savais ce qui se passait pour lavoir vécu au début de mes aventures en club libertin ! Si certains se contentaient de regarder, dautres se caressaient ou se faisaient sucer en attendant de passer à autre chose ou de participer... Je nai pas tardé à partir une nouvelle fois mais mon baiseur était plutôt long à venir si bien que je me suis désunie pour lachever à la main. Une nouvelle fille est venue recueillir avec moi quelques belles giclées de sperme sur notre poitrine. Nous étions couchées face à face sur le côté, seins contre seins.
Comme jétais restée dans la même position, le mec que je venais de mettre en condition sest allongé derrière moi, a relevé une de mes jambes et sest introduit dans ma chatte dune violente poussée qui ma fait hoqueter. Il ma copulé rapidement ce qui ne nous a pas empêchés de jouir pratiquement en même temps. Heureusement que les mecs étaient couverts car autant déjaculations simultanées dans ma chatte en plus de ma mouille, jaurai été littéralement inondée.
Celui qui avait la grosse bite est venu aussitôt devant moi qui étais toujours sur le côté. Il ma prise et ma fait basculer sur lui avant de sallonger sur le dos et dincliner son buste sur le sien. Il a passé ses bras autour de moi pour les nouer à hauteur de mes reins. Il ma baisée en faisant uniquement des mouvements avec son bassin qui faisaient aller et venir sa bite au fond de moi.
Ma surprise a été grande quand jai senti des mains courir le long de mon dos et ouvrir mon sillon fessier pour quensuite une langue agile vienne titiller mon anneau plissé : cétait une femme qui me prodiguait cette feuille de rose, pénétrant mon cul de sa langue pointue... Que cétait doux. La surprise a continué quand jai senti quelle se plaçait entre nos cuisses pour me prendre le cul avec un gode ceinture. Quelle nouveauté pour moi : une double pénétration par une femme.
Et la soirée sest poursuivie : jai été baisée par une dizaine dhommes, lun deux ma sodomisé (en plus de la fille qui sest avérée être la femme du mec qui me baisait à ce moment-là). Je ne sais même plus combien de bites jai sucé et au moins trois chattes sont venues sétancher dans ma bouche.
Comme nous avions assuré le spectacle, le gérant nous a offert le champagne au bar où jai été très entourée. Jétais repue de sensations et javais hâte daller me détendre quelques instants, seule dans le jacuzzi avant de rentrer chez moi par le premier métro... Je devais récupérer un peu de forces pour ma future nuit de garde. Mais ce nétait pas terminé : le gérant du club ma rejoint dans le jacuzzi où il ma encore félicité avant de me baiser à son tour !
Cela sest passé le weekend dernier et jen garde un merveilleux souvenir. Quelle femme avide de sexe comme je le suis ne rêverait pas dun gang bang aussi bien réussi.
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